I CENTENAIRE DE LA NAISSANCE
D’ALBERT CAMUS (1913-1960)
Écrivain et journaliste françaisPrix Nobel de Littérature 1957 |
- « Créer, c’est vivre deux fois » (Le Mythe de Sisyphe)
- « En vérité, le chemin importe peu, la volonté d'arriver suffit à tout » (Le Mythe de Sisyphe)
- « La société politique contemporaine : une machine à désespérer les hommes » (Actuelles)
- « Si l'homme échoue à concilier la justice et la liberté, alors il échoue à tout ». (Carnets)
- « Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde »
- « Je me révolte, donc je suis » (L’été)
- « Gouverner, c’est tout voler, tout le monde sait ça» (Caligula)
- « Le fascisme, c’est le mépris. Inversement, toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme ». (L’homme révolté)
- « Le mal qui est dans le monde vient presque toujours de l'ignorance » (La peste)
- « Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu'elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse » (Discours de réception du Prix Nobel)
- « Il n'y a ni justice ni liberté possibles lorsque l'argent est toujours roi » (Combat)
- « Une société basée sur l'argent ne peut prétendre à la grandeur ou à la justice » (Combat)
- « L’honneur est la dernière richesse des pauvres » (Les justes)
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